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Alaric, l'étoile du Matin [En cours]
Alaric Morgenstein

Alaric Morgenstein

Death Holder
Présentation -

ÂGE ▬ 21 ans.

GUILDE ▬ Death Holder.

FONCTION ▬ Assassin

BUT / RÊVE ▬ éliminer de grosses pointures/ engranger de l'argent grâce aux contrats / commettre le meurtre parfait.

AVATAR ▬Bruno Bangnyfe - Burn the Witch.

AUTRES DÉTAILS ▬
- Ses cheveux noirs sont parsemés de deux mèches bleus depuis sa naissance.
- Il est un adepte de la coupe "dégradée".
- Il porte des gants en permanence lors de ces missions.
- Il porte également un manteau, du à sa naissance au sein de l'Ancien royaume de Iceberg.
- Un tatouage représentant un triskèle dans un cercle runique orne son épaule droite.
- Le symbole de la guilde se trouve sur son omoplate gauche.


MAGIE OU ARME ▬ Magie de l'Air

La magie de l’air est une magie qui donne à son utilisateur la possibilité de manipuler l’air autour de lui, à volonté. Il peut l’utiliser pour faire abaisser ou exploser les niveaux d’oxygène dans une certaine zone. Il peut également se propulser avec l’air, augmentant sa vitesse et sa maniabilité. L’air peut-être manipulé dans une utilisation simple, telle que la lévitation par exemple.

En raison de sa nature translucide, cette magie est difficile à contrer ou à esquiver. La pleine maîtrise de cet attribut permet d’assimiler son corps à cet élément, afin d’esquiver les attaques physiques (Rang S pour débloquer). Cette magie peut toutefois étouffer ou renforcer la puissance du feu. Cette dernière peut consumer l’air et donc représente une faiblesse élémentaire pour cette magie. Néanmoins, l’utilisateur n’est pas capable de manipuler le vent (ce n’est pas de la magie du vent.) et l’air est capable de dissiper la foudre et la lumière, dans un certain sens (magie forte contre les magies de foudre et peut tempérer les magies à base de lumière qui utiliserait des rayons lasers).

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Psychologie -

L’humain, l’une des espèces les plus évoluées sur cette terre. Une créature, crée dans le plus pur des argiles, par le panthéon des dieux. Ces enfants « fragiles » recherchant la reconnaissance de leurs parents célestes, se perdant sur le chemin tortueux de la magie interdite. Une créature, à l’image du divin, qui ne reste rien de plus qu’un animal remuant la queue pour ses maîtres. Certes doués d’esprit et de paroles, mais aussi cruel et cupide que l’animal, qui, lui, n’agit que par instinct. Alaric n’en fait point exception. Bien au contraire, il embrasse pleinement cette vérité. Il n’est qu’un humain, qu’une enveloppe sophistiqué et civilisée, cachant la véritable âme de cette espèce : un chimpanzé rusé et perfide, un loup dont l’honneur et la loyauté ne sont acquis que par ses proches, un fauve qui ne trouve son plaisir que dans une bonne chasse aux êtres vivants.

Cette bête intérieure, cette espèce vengeresse représente ses sentiments refoulés, sa rage et sa haine. Les émotions ne demeuraient que des mets sans saveur pour le Morgenstein, ces illusions chimiques qui ne cherchent qu’à emprisonner ses sens pour le livrer à la faiblesse et sur le plateau d’argent de la grande faucheuse. Toutefois, certaines réussissent à s’évader de cette protection en acier trempé, de ce cœur, vide et sombre, qui ne sert qu’à pomper le sang depuis ce jour fatidique. L’honneur, la fidélité, l’amour. Ah, l’amour, le mage aérien l’a déjà ressenti bien des fois... Enfant, adolescent, jeune adulte... L’amour avait tenu une place importante dans son passé, galvanisé par le désir de son « animal totem » de croire en la présence de son âme-sœur. Sensation que ne laissait, la plupart du temps, que déception et échec. Mais il ne désespérait pas, au fond de son âme, de trouver celle qui comprendrait sa mécanique, la femme qui pourrait se tenir à ses côtés, sa Reine.

Pour autant, l’animal social ne détestait point les sentiments au final. Il n’était pas un monstre tout de même. Il aime regarder la joie et le bonheur dans ses congénères, ceux qui se laissent aller aux illusions d’un monde tout rose et sans danger. Il aime à voir l’amour naître entre deux êtres, un fait important dans la survie de son espèce. Mais... Ce qui ravissait son âme plus que tout, c’était le schisme qui s’opérait lorsque la lueur de vie quittait le regard des futurs défunts. Leurs balbutiements de terreur lorsque l’étoile du matin délivre son jugement. Rien de personnel, juste du business. Cependant, il faut bien tirer un peu de plaisir de son travail. Le jeune homme en est bien conscient.

Néanmoins, malgré cette soif de violence due à l’excitation de commettre le meurtre parfait, on peut distinguer quelques qualités si on grattait la surface. Alaric prouve sa loyauté envers sa guilde et son maître. Il croit en l’idéal de Seralth de se débarrasser le monde des crapules et des personnes trop cupides et détestables pour cet univers. D’ailleurs, le mage aérien n’hésitait pas à prendre des missions d’assassinats de nobles ou d’autres criminels (bandits, guildes noires, etc.) pour « défendre les opprimés et les faibles qui avaient tant souffert durant les affrontements et le vil désir de cette engeance pourrie ». Mais n’était-ce pas pure hypocrisie de sa part. Ne jouait-il pas à l’assassin surtout pour se protéger ? Ne suivait-il pas l’ordre de mission juste pour assouvir un plaisir malsain de donner la mort ? N’avait-il point ôté la vie à des innocents et des enfants alors qu’il avait juré de protéger l’anonymat d’autres suppôts de la Mort, des meurtriers de sang-froid ?

Non, toutes ses questions ne traversaient pas les membranes de son esprit. Il n’était juste qu’un mortel, un loup. Il était vital, instinctif pour un loup de respecter les ordres de son Alpha et d’éliminer toute menace pour sa meute, bien que ce dernier n’a point besoin de sa protection, ayant déjà l’homonyme du Dieu grec de la Guerre à ses côtés, lui un immortel de plus de quatre siècles. Pour autant, sa part humaine dominait toujours la part bestiale. Certains aspects de son innocence passée percent encore cette aura sombre et meurtrière. Il se pliait encore aux règles d’usage et de convenance qu’un homme se doit de connaître. Non-content de l’amour, il n’en reste pas moins un séducteur, autant pour son travail que pour son propre plaisir nocturne. Il est également amical avec ses quelques connaissances qu'il ne questionne pas sur leur loyauté. Mages blancs, noirs, ou encore simples humains, il s’en moque totalement tant qu’il peut partager de bons moments avec eux. Toutefois, il cache son affiliation sous peine de devoir éliminer des gens qui lui sont chers, une torture pour n’importe quel être intelligent et sensible. Même l’animal s’octroyait une période de jeu, alors pourquoi pas le jeune mage.

Toutefois, aussi bestial et traqueur soit-il, Alaric tenait à son honneur ainsi qu’à celui de ses victimes. Il aimait certes les voir souffrir ou la torture pour leur soutirer des informations pour ses clients, mais les plus méritants qui parlent d'emblée obtiennent une mort rapide et précise.

[En cours...]
Histoire -


Alaric vit le jour dans un contexte belliqueux au sein des territoires limitrophes entre le royaume de Bosco et la Principauté de Seven. Sa mère, femme d’un guerrier, avait perdu son innocence. L’homme, membre d’un famille de la noblesse militaire de Bosco, ne put lui-même honorer son épouse avant de connaître le trépas, noyé dans un beau liquide écarlate. D’autres, des délinquants, mages d’une guilde noire dont le chef semblait maîtriser l’eau, prirent sa place dans la couche et se livrèrent à l’acte le plus perfide qui soit. Adage connu, il faut se méfier de l’eau qui dort…

De cette tragédie, en était ressortie une chose miraculeuse que les dieux pouvaient accorder à leurs créations : la grossesse. Période de souffrance, mais aussi synonyme d’une joie que de donner naissance à une nouvelle existence. Pourtant, cette grossesse-ci représentait une malédiction. La jeune femme était terrifiée par la situation, craignant que malgré son stratagème de faire comprendre qu’elle était enceinte avant que son époux décède, le père de ce dernier parvienne à découvrir la réalité et à lui conférer un sort bien pire que son humiliation. Défaite par le dégoût, elle tenta, par tous les moyens, de se débarrasser du « monstre ». Mais la dite monstruosité s’accrochait désespérément à la vie. Que ce soit le poison ou des substances nocives, rien n’y passa. La noble par alliance dut se résigner à lui donner naissance. Et le drame fut. L’enfant possédait un duvet noir, parsemé de deux mèches bleues qui n’était pas sans rappeler la chevelure azuré de sa génitrice. Dans la famille Von Hesvelg, les membres étaient blonds de père en fils depuis des temps immémoriaux, remontant aux fondations du royaume. Ainsi, le patriarche de la famille ne put être trompé plus longtemps : ce nourrisson n’était pas son héritier, la chair de sa chair, son propre sang ne coulait pas dans ses veines. Demandant des comptes, il fut instruit de la tragédie et prit sa décision. L’ordre était sans appel : il n’était pas question qu’il s’occupe d’une semence d’un des meurtriers de son fils. L’enfant était banni des terres du Duc, et il ne devait son salut qu’à son très jeune âge. La mise à mort publique d’un bébé pourrait ternir la réputation de la famille et le Roi leur en tiendrait rigueur. Bien entendu, la mère partagea ce sort, pour les mêmes raisons. Lorsque ses pas franchirent les limites du fief et sans un regard pour les yeux marron qui la fixaient gaiement, elle abandonna son enfant pour reprendre le cours de sa vie. Aussi cupide que le reste de son espèce, elle espérait que son clan de naissance chercherait à la reprendre, pour qu’elle puisse jouir à nouveau de son statut social. Toutefois, elle ne put défendre ses chances, fauchée par les conséquences de son mensonge. Le noble avait tenu à effacer cet affront par le sang. Après tout, les hommes étaient des animaux, sociaux certes, mais restant des animaux quand même.

Le nourrisson passa plusieurs jours dans la misère, criant de faim et luttant avec cette même force qu’il avait déployé pour contrer les substances ingurgitées par sa mère, ses mêmes poisons qui auraient pu l’handicaper sérieusement, voir pire. L’enfant continua jusqu’à ce qu’un passant, marchand itinérant, le découvrit. Doué d’une certaine forme de compassion, voilé d’un fanatisme religieux viscéral, l’homme prit l’enfant. Il ne saurait laisser un individu dans le besoin. Tel était l’enseignement de sa religion, celle de la très glorieuse église de Zentopia. Une institution qui trouve son origine sur les terres du Royaume de Fiore, propagé dans les terres frontalières par des prédicateurs chargé d’annoncer « la bonne nouvelle ».

[En cours...]


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Et toi ?
PSEUDO ▬ Djaboy V
ÂGE ▬ 23 ans
COMMENTAIRES ▬ Vas-y, dis tout 8D
COMMENT ES-TU ARRIVÉ ICI ? ▬ Par les Top-sites.
LE CODE ▬ Validé par Kazuki \o/

Code par Aadelrun


( Pour cause de refonte, je refais carrément un sujet si cela ne vous dérange pas.)
Alaric Morgenstein
Alaric Morgenstein
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Jeu Déc 31 2020, 12:44
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